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HISTOIRES DE RÉUSSITE

Grâce à notre partenariat avec 13 fondations d’hôpitaux pour enfants locales, notre initiative a une incidence sur la vie des enfants partout au pays. Vous découvrirez ci-dessous des histoires d’enfants et de familles qui ont bénéficié d’un accès précoce aux programmes de santé mentale innovants que nous appuyons, et qui témoignent de la différence que peuvent faire ces programmes dans une vie.

Veuillez noter qu’une partie du contenu pourrait représenter un déclencheur émotionnel.Veuillez continuer de lire à votre discrétion et demander de l’aide au besoin.

CHARLOTTE

Fondation pour la santé des enfants

À l’automne 2014, Charlotte savait qu’elle avait besoin d’aide. Ses mains étaient irritées parce qu’elle les lavait constamment, elle changeait souvent ses vêtements parce qu’elle craignait qu’ils soient contaminés et elle évitait de toucher de l’argent. Grâce aux soins qu’elle a reçus à l’Hôpital pour enfants du Centre des sciences de la santé de London, elle a pu rapidement commencer un traitement pour son trouble obsessionnel compulsif avec un thérapeute. Après seulement trois mois, Charlotte a constaté une grande amélioration. Elle se sent maintenant beaucoup mieux et poursuit son intérêt pour la couture et la conception de vêtements.

« Je ne sais pas où nous en serions si nous n’avions pas eu d’aide pour passer à travers cette crise. Quand je regarde en arrière, j’ai l’impression que nous étions au milieu d’une tornade – et tout d’un coup nous avons réussi à nous en sortir. »
Mère de Charlotte

Sobeys_CYMH

HUDSON

Fondation de l’Hôpital pour enfants de l’Alberta

Âgé de seize ans, Hudson ne serait pas là où il en est aujourd’hui sans le soutien de l’équipe de l’Hôpital pour enfants de l’Alberta. Lorsque la médication a cessé de contrôler ses tics quand il était enfant, il a participé à une étude axée sur la stimulation magnétique transcrânienne (SMT) chez les enfants atteints du syndrome de Tourette. Les résultats ont changé sa vie, réduisant ses tics d’environ 70 % et lui permettant de se concentrer à améliorer son état de santé dans l’ensemble, y compris le trouble obsessionnel compulsif (TOC) et l’anxiété dont il souffrait. Aujourd’hui, il vit à l’étranger avec sa famille et il estime que l’hôpital l’a aidé à vivre de nouvelles aventures.

« Le soutien que l’Hôpital pour enfants de l’Alberta lui a offert dès son plus jeune âge l’a aidé à traverser toutes ses épreuves. C’est un combat parfois très difficile, mais il y a toujours moyen de s’en sortir avec le soutien adéquat. »
Mère d’Hudson

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BAILEY

Fondation de l’Hôpital pour enfants McMaster

Âgée de 15 ans, Bailey a constaté qu’elle avait des problèmes de santé mentale pendant la pandémie de COVID-19. L’isolement provoqué par la pandémie a aggravé le stress lié à ses études et au fait qu’elle était victime d’intimidation par textos. Son service d’urgence local l’a dirigée vers l’Hôpital pour enfants McMaster, où elle a rencontré chaque semaine un thérapeute et participé à l’essai clinique I AM SAFE. Grâce aux soins qu’elle a reçus et aux stratégies d’adaptation qu’elle a apprises, Bailey a une nouvelle perspective sur sa santé mentale et a réalisé qu’il n’y a rien de mal à ne pas bien aller.

« Le temps que j’ai passé au sein du programme m’a donné une nouvelle perspective sur les choses et m’a montré que je pouvais changer ma façon de penser. Le programme m’a aidée à décomposer mon processus de réflexion et à réaliser que les choses qui me préoccupaient aujourd’hui n’auraient pas tellement d’importance plus tard. »
Bailey

MADELINE

Fondation de l’Hôpital pour enfants Jim Pattison

La première année au secondaire de Madeline a été parsemée d’embûches. Les pressions scolaires et sociales ont continué de s’intensifier jusqu’à ce qu’elles deviennent trop difficiles à supporter pour elle. Elle a essayé de le cacher, mais elle a fini par être submergée par ses sentiments. En janvier 2020, elle a fait une tentative de suicide. Elle a été envoyée rapidement à l’urgence locale, qui l’a dirigée vers l’Hôpital pour enfants Jim Pattison. Les professionnels du service de santé mentale l’ont aidée, elle et sa famille, à élaborer un plan à domicile. Grâce à un soutien médical continu et à l’aide de sa famille et de ses amis, elle se porte beaucoup mieux et elle espère désormais aider d’autres personnes en difficulté en racontant son histoire.

« Mon expérience a été révélatrice et j’ai commencé à mieux comprendre ma santé mentale. Maintenant, je sais comment les choses m’affectent, ce que je vivais à ce moment-là, et dans l’ensemble, je me sens beaucoup mieux maintenant. »
Madeline

ELLY

Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants

À 8 ans, Elly a commencé à penser que son corps était différent de celui des autres enfants de son âge. À l’adolescence, elle a fait face à ses insécurités croissantes en alternant entre des périodes de frénésie et de privation alimentaire. Après avoir perdu 50 livres et atteint un poids dangereusement bas, elle a été admise à l’Hôpital de Montréal pour enfants et s’est inscrite au programme de traitement familial, qui a fait une grande différence dans sa vie. Elly se sent beaucoup mieux désormais et se concentre sur ses études et le maintien d’une bonne santé mentale.

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Sobeys_CYMH

ROMAN

Fondation du IWK Health Centre

Au printemps 2021, Roman avait besoin d’aide. Il était de plus en plus obsédé par l’exercice et il cachait de la nourriture dans ses poches. La famille de Roman a demandé l’aide d’un psychologue communautaire par l’intermédiaire d’une rencontre surZoom. Lorsqu’il s’est mis à refuser de manger, sa famille l’a fait entrer au service d’urgence du IWK, où il a été dirigé vers le Centre Garron pour enfants et adolescents atteints d’une maladie mentale. Grâce à ces services spécialisés, Roman et sa famille ont reçu les soins dont ils avaient besoin. Sur une période de 10 semaines, Roman a recommencé à manger, il a repris du poids et il s’est à nouveau senti lui-même.

« Tout le monde au IWK était extraordinaire. Les membres de l’équipe nous ont encadrés et nous ont donné la confiance nécessaire pour faire partie de l’équipe qui aidait Roman à aller mieux. À la fin de notre séjour, Roman se sentait bien à l’hôpital. Il aimait les infirmières. Et il a recommencé à chanter et à plaisanter. Le IWK nous a rendu notre fils. »
Mère de Roman